Je sais qui je suis !!

Publié par patock le 24.06.2010
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                             Dans la tourmente de certain personages, chacun croit savoir qui je suis!

        Mais hélas, ils se trompent et de loin.

                             Caché volontairement derriére des couleurs artificielles.

       Je me suis deguisé, car invisible je suis.

        

                             Je me cache volontairement parce que je ne veus en aucun cas offrir.

        Mon tout moi!! a des personnes qui ne le mérite pas.

                             Le jour ou je me devoilerai, ce serra pour une personne qui partagerat ma vie a tout jamais.

                             Ce n'est pas de l'orgueil, loin de là.

        Je suis assais simple pour ceux qui le savent.

                             Je viens d'un passé, et je dois retrouver celui-ci pour vous faire decouvrir qui je suis.

                             Mais, un tel cadeau, ne s'offre pas dans la cour.

         A vous de trouver qui vous étes, et vous serrez qui je suis.

                            Je ne suis qu'amour,  sagesse, lumiére.

         Si cela vous fait peur ! continuez votre route, moi je ne suis pas la pour juger.

                            Dans mon moi, parfois il peut y avoir de la colére, mais celle ci disparait.

         Je vous le redit, je suis et, vous qui étes vous?.

                            Votre attachement a vouloir conserver des phrases toutes apprisent.

          Creez votre moi, alors vous serrez, que moi je suis.

                             hier, c'est passé, aujourd'hui avancaient et demain vivaient.

          Lorsque vous saurez qu'entre le bas et le haut, la doite et la gauche, le jour et la nuit.

                             Je suis moi! et vous quel votre moi !!

                                         petit patock.Innocent

Commentaires

Portrait de sonia

ah mais Patock petit je te dirais que je me suis perdue et retrouvée grâce à ton Moi super omniprésent, et comme dirait la poétesse Louise Labbé :

je ris je pleure

je vis je meurre

tendrement à toi mon grand Patock

Portrait de patock


 
                  Je ne connais malheureusement pas la poétesse.
 
                                        Louise Labbé.
 
           Mais peut-etre, tu viens de comprendre le sens de mon propos merci.
 
            je te dirai ceci !! Tu ne peux savoir et devenir ce que tu es, faute de ce que tu n'es pas. 
 
                   Tendrement petit patock.Innocent.
 
  Ps: je suis moi, et toi tu serra quand moi?. 
Portrait de sonia

la virtualité nous permet d'être un et plusieurs à la fois, alors merci encore pour ta poésie, tu m'as touchée snif

Portrait de patock

     Le but de mon propos n'est pas de te faire emouvoir.

                       Regarde ton toi au fond de ton coeur, alors tu decouvriera mon moi.

                            petit patock. tendrement.Innocent

Portrait de sonia

 BALLADE A LA LUNE

C'était, dans la nuit brune,
Sur le clocher jauni,
La Lune
Comme un point sur un I.

Lune, quel esprit sombre
Promène au bout d'un fil,
Dans l'ombre,
Ta face et ton profil ?

Es-tu l'oeil du ciel borgne ?
Quel chérubin cafard
Nous lorgne
Sous ton masque blafard ?

N'es-tu rien qu'une boule,
Qu'un grand faucheux bien gras
Qui roule
Sans pattes et sans bras ?

Es-tu, je t'en soupçonne,
Le vieux cadran de fer
Qui sonne
L'heure aux damnés d'enfer ?

Sur ton front qui voyage.
Ce soir ont-ils compté
Quel âge
A leur éternité ?

Est-ce un ver qui te ronge
Quand ton disque noirci
S'allonge
En croissant rétréci ?

Qui t'avait éborgnée,
L'autre nuit ? T'étais-tu
Cognée
A quelque arbre pointu ?

Car tu vins, pâle et morne
Coller sur mes carreaux
Ta corne
À travers les barreaux.

Va, Lune moribonde,
Le beau corps de Phoébe
La blonde
Dans la mer est tombé.

Tu n'en es que la face
Et déjà, tout ridé,
S'efface
Ton front dépossédé.

Rends-nous la chasseresse,
Blanche, au sein virginal,
Qui presse
Quelque cerf matinal !

Oh ! Sous le vert platane
Sous les frais coudriers,
Diane,
Et ses grands lévriers !

Le chevreau noir qui doute,
Pendu sur un rocher,
L'écoute,
L'écoute s'approcher.

Et, suivant leurs curées,
Par les vaux, par les blés,
Les prées,
Ses chiens s'en sont allés.

Oh ! le soir, dans la brise,
Phoebe, soeur d'Apollo,
Surprise
A l'ombre, un pied dans l'eau !

Phoebe qui, la nuit close,
Aux lèvres d'un berger
Se pose,
Comme un oiseau léger.

Lune, en notre mémoire,
De tes belles amours
L'histoire
T'embellira toujours.

Et toujours rajeunie,
Tu seras du passant
Bénie,
Pleine lune ou croissant.

T'aimera le vieux pâtre,
Seul, tandis qu'à ton front
D'albâtre
Ses dogues aboieront.

T'aimera le pilote
Dans son grand bâtiment,
Qui flotte
Sous le clair firmament !

Et la fillette preste
Qui passe le buisson,
Pied leste,
En chantant sa chanson.

Comme un ours à la chaîne,
Toujours sous tes yeux bleus
Se traîne
L'océan montueux.

Et qu'il vente ou qu'il neige
Moi-même, chaque soir,
Que fais-je,
Venant ici m'asseoir ?

Je viens voir à la brune,
Sur le clocher jauni,
La lune
Comme un point sur un i.

Peut-être quand déchante
Quelque pauvre mari,
Méchante,
De loin tu lui souris.

Dans sa douleur amère,
Quand au gendre béni
La mère
Livre la clef du nid.

Le pied dans sa pantoufle,
Voilà l'époux tout prêt
Qui souffle
Le bougeoir indiscret.

Au pudique hyménée
La vierge qui se croit
Menée,
Grelotte en son lit froid.

Mais monsieur tout en flamme
Commence à rudoyer
Madame,
Qui commence à crier.

"Ouf ! Dit-il, je travaille,
Ma bonne, et ne fais rien
Qui vaille !
Tu ne te tiens pas bien. "

Et vite il se dépêche.
Mais quel démon caché
L'empêche
De commettre un péché ?

"Ah ! Dit-il, prenons garde !
Quel témoin curieux
Regarde
Avec ces deux grands yeux ? "

Et c'est, dans la nuit brune,
Sur son clocher jauni,
La Lune
Comme un point sur un I.

Alfred de Musset
Portrait de patock

               Merci de ce partage d'un secret.

   Je ne suis ni la lune et le clocher, pourtant de ma lumiére j'ose vouloir un peu t'eclairer;

              Si tu as etais touché de ma bienveillance,  quel joie de savoir partager.

   Dans les phrases perdues ou tu voudrais m'emmmener, je sais dejà, que j'y suis né.

                                   petit patock.Innocent