N'est-il pas la cause de tous les bonheurs ?????????????????????????????????
Dans ses yeux bleu, j'ai su lire toute la tendresse qu'il y avait
Dans son coeur.
Un regard a suffit et la magie de l'instant a opéré sans même
calculer les paroles qu'on auraient pu exprimer.
Sous la neige du polen des saules, je l'ai aperçu comme un
enchantement, une divine providence, pourtant ce n'est pas le mois
de septembre.
Une allure souple et détendu, lentement, il s'avance dans ma direction
aurra t-il l'ambition de me dire toute sa passion.
Il passe a quelques pas de moi, prend un sentier ou l'on ne va
nulle part, surement dans l'espoir que mes pas suivront dans sa vision.
D'un geste presque lent, il tourne la tête pour, s'assurer de ma
venue ou pas ?.
Le soleil innonde mes yeux, comme aveuglé de se mystére que
je n'attendai plus ou, que je n'aurrai certainement plus jamais.
J'emboîte a mon tour ce chemin déguisé, les oiseaux sifflent
d'émerveillement, voilà, le printemps.
La verdure renait elle aussi de ses cendres, quel soulagement
après un hiver vide et fatigué des passants.
Il neige, sa me chatouille le nez, pas grave, je rigole comme
un jeune faon, délivré de sa jeunesse, pour vivre une pleine maturité.
Lui, s'enfonce dans ce maquis, soldat partant en guerre pour
tuer les contres temps.
Je n'ose le rattraper de peur de l'effrayer, sait-on jamais
baladeur ? curieux ? aventurier ? ou, simple revenant ?.
Puis, soudain, il marque un arrêt brutal, se retourne, me fixe
je perd l'équilibre, tourne sur un pied, me voilà, désequilibré.
Un sourire vient sur son visage, une main tendue dans ma
direction, un peu de peur et, je reprend la raison.
Ma main jusque là timide, semble aimenté, rien que pour lui
et, nos deux corps se retrouve a n'en faire plus qu'un.
Ses lèvres sont douces, parfumées de bonbon de réglisse, que
léche goulument en toute déraison.
Maintenant, ses mains parcourent ma petite nature, malgrès
la chaleur de ce mois d'avril, je ne peut m'empécher d'avoir des frissons.
Je redécouvre enfin l'amour, si absent, jusque là, quel joie
de sentir l'envie d'une personne pour soi.
" Voilà, mon rêve de printemps, que je voulai partager en passant".
Petit Patock.
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