Mal tu es le mois de mai !!!!!!!
Les fleurs basculent dans le silence de ton abscence.
Aucun gémissement semblent réveiller le vent.
Cette nature que je respecte, me boude tant.
La lumière des arbres m'effrait tout autant.
Rivière emporte tous mes espoirs au fond du gouffre.
Dans le centre de la terre qui servira a mon enfer.
Les musiques m'assourdissent comme ce torrent.
Les paroles s'envolent avec mes sentiments.
Je n'aimerais plus tous ces prétendants.
A la voix démesuré de leurs tourments.
Leurs écrits fallacieux m'usent les yeux.
De leurs faux pas, ils dévient tout engagements.
Volcan si tu m'enttends fait cracher la colère.
De ta lave noyé, emporte lès sous la rougeur des cendres de l'éternitè.
Ils ne méritent aucunes pitiè, tant je suis amére.
Brûle leurs âmes, si toute fois ils en auraient possédé une.
Que les quatres vents se réunissent pour faire alliance.
Créer une ambiance, pour me faire oublier qui je suis en sa présence.
Puisqu'il n'a plus de regard assez merveilleux.
J'ai perdu patience, mes regrets, je l'ai jetté au feu.
Enfin, sans esprit de vengeance, que la terre se soulève.
Creuse un profond appendice, que je glisse sans malice.
Enfoullir mon pauvre squelette, épuisé d'avoir espéré.
Ou simplement , avoir cru aimer un fantôme du passé.
"ils veulent aimer mais, savent-ils seulement ou, désirent-ils vouloir aimer".
Petit Patock.
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