Mes jeunes Années !!

                    A l'age de  neuf ans, j'etais placé dans une famille d'aceuil en montagne.

     Je me rapel tres bien le soir ou je suis arrivais, accompagné d'une assistance sociale.

               Celle-ci etait vieille fille et pas comode,  un cheval de remonte comme on dis chez nous.

               Donc me voilà arrivé dans un petit village de l'ardeche qui me semblait etre le bout du monde, moi qui n'était jamais sorti de mon trou.

               Une dame au sourire large venait vers nous.

 Elle avait une chevelure blanche comme la neige.

               Bonjour echangés, je restai un peu ébété.

 Son petit chien qui grognait venait de recevoir un coup de louche a soupe.

        Bin voilà, elle l'avait cassé sur sa petite tete le pauvre.

  Je me suis dis a ce moment là, bin j'ai interet a me tenir a carreau si je ne veus pas en faire les frais.

        Gentiment , elle me prend la main et me dis ce-ci; on va racheter une louche.

  Nous voilà partis sur la place du village, ou, il n'y avais que trois commerces.

  epicerie, poste, boucherie qui faisait bar le dimanche.

             On entre dans le petit commerce, et la marchande lui dis, mais, je ne le connais pas ce petit garcon, c'est votre petit fils, non lui réponds celle-ci, c'est un garcon que je vais garder quelques temps.

           Bon j'ai cassé ma louche , donc, il m'en faut une autre, et nous voilà reparti.

  Arrivé dans la petite maison qui longeait un semblant de route.

  Un monsieur etait assis dans un fauteuil de rotin.

        C'etait son mari, hé; bonjour me crie t'il, je lui repondai poliment bonjour monsieur.

  Alors! s'ecria t'il , c'est  petit qu'on va garder, sa femme lui repond, oui.

        Dans la petite cuisine, il y avais une table en bois, quatres chaises paillés, un placard en formica, une petite cuisiniére et chauffage a bois.

        Je deposai ma petite valise a mes pieds, et voilà, des larmes coulaient.

  La dame gentiment vient vers moi et me dis: alors tu es triste, tu vas voire, tu serra bien ici avec moi et le pépé.

         J'etais rasuré, le pépé!! mais c'est pas mon pépé!! 

  La dame me dit, bin si tu veus, tu peut nous appeler , pépé et mémé!!.

  J'étais content heureux de decouvrire de nouveaux g-parents.

  Et la soudain le coucou se mettait a chanter!! je me retourne étonné, je n'avais jamais vu cela, mémé me dis, c'est qu'un coucou!! je lui dis , je connais pas, elle se mettait arire aux grands éclats, et, pépé suivait, bin moi aussi de ce fait.

  Bon on va manger la soupe quand meme, je dis oui, elle posait la gamelle sur la table, et, une odeur parfumé que je ne connaissais pas sans échappait.

  Je t'en sert une louche! deux, bin, je sais pas, la premiére fois qu"on me demandai mon consentement.

  Donc nous voilà partis tous les trois a manger la soupe de légumes en rigolant.

  Apres,  elle me servait un mélange que je ne connaissait pas non plus.

  Tout de suite elle comprenait que je devais pas manger grand chose d'ou je venais.

  Donc débat clos.

  Il y avait un petit poste de radio, alors pépé l'allumait pour ecouter les informations.

  Comme desert tu veus quoi!! je reponds, j'ai droit a un desert, hé! oui cria t'elle.

  Elle partait a coté et reviens avec une corbeille de fruit mélangés, pommmes, poires, bananes et noix, prends ce que tu veus, j'ai le droit de choisir!! oui!! bon ala fin arrette de poser des questions et prends n'importe quel desert meme duex si tu veus, je ne pouvais m'empecher de crier ma joie.

  Bon apres la vaiselle, on va allaient veiller a l'usine, je lui dis: c'est quoi une veillée!!.

  Décidement, tu connais pas grand chose, toute riante, on va chez des amies pour passer un moment, discuter, voilà c'est ca une veillée, HA! je connais pas.

  Et nous voilà  partis main dans la main sur le chemin qui nous conduisait chez les voisins.

  Deux personnes agées, nous acceuillaient gentiment.

  Les presentations faite, ils se mettaient a discuter de moi.

  Bon vous allez le garder combien de temps ce petit bonhomme, demandait t'elle a mémé.

  Mais encore nous ne savons pas!! lui réponds celle-ci.

  Ces nouveaux gens que je découvrai me semblaient charmants.

  La maitresse de maison préparait le café accompagné de petits gateaux sucrés.

  J'ai eu droit a ma premiére tasse bien allongé d'eau bien sur, prends des gateaux petit.

  Mémé, qui me voyait gené, aller ouste, fais ce qu'on te dis.

  Voilà, j'étais au paradis.

  Bon ont va écouter le général ce soir. Je crie y a un général!! ou ca!! a la television pardis.

  Et pour la premiére fois de ma petite vie je regardai la tele le soir.

  Le general de-gaule.

  Apres, cette veillée, on rentraient se coucher.

  Ma premiére nuit dans une maison qui n'était pas la mienne.

  Ont montaient un escalier, puis, la une chambre dans laquelle se trouvait un peit lit pour moi, puis un grand, pour pépé et mémé.

   Elle avait tendu un grand drap pour séparer son intimité.

  Je me deshabillai et me voila en pyjama, je me couche dans ce petit lit contre la fenétre.

  Mémé vient voire si tout allais, puis elle se penche sur moi pour m'embrasser.

  De nouveau des larmes s'echappaient, meme me dis! alors pourquoi tu pleur!!.

  Je lui reponds, chez moi personne ne m'embrasseavant de me coucher!!!.

  Ici , mémé dis: nous oui, tu es content ou pas!! je lui répondais avec un grand sourir.

  Je ne pouvais fermer mes yeux, pourtant épuisé, je pensai a mes soeurs et mon frere loin de moi.

  Et comme tout es bien fait les enfants c'est bien connu tombent dans leur someil.

  Le lendemain, j'étais bien, alors, bien dormi dis mémé, oui, mémé! quoi? j'ai fais pipi au lit.

  Bin c'est pas grave je vais te laver et changer ton lit.

   Je restai béte!! mémé  dis! bin quoi encore!! je lui réponds! tu vas me taper?? .

  Mais, non pourqupoi je te taperai??? , je lui dis: chez moi quand je fais pipi au lit j'ai droit aux coups, mémé!! c'est triste ce que tu dis!! non c'est vrai, je te jure.

  Elle a pas eu besoin de me croire sur parole.

  Quand elle ma baissé mon pyjama, elle a compris pourquoi j'étais là.

  Mémé crie encore mais, fort! quel horeur!! mais qui ta fais ca!! je lui dis , ma mére.

  Mes fesses etaient noires, des coups de chaussures que j'avais recu avant d'arriver ici.

                                 suite dans un autre billet.

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