Ces photos ont été prises lors de ma ballade dominicale à Gerberoy, l'un des plus beaux villages de France dans l'Oise. Le sentiment de bien être donné par ce type de lieu est extraordinaire.
me résignier à apprécier tes photos.J'ai du mal avec des leylandis dans le maquis corse ou des platanes dans la garrigue des corbières.D'ou mon intervention sur un autre de tes blogs photos.La beauté de la nature je ne l'a conçoits que spontannée.Je peux être admiratif devant un jardin d'architecte d'extérieur que je suis.Je prends en compte l'environnement et même si certains végétaux sont adaptés sous nos latitudes je les trouvent toujours incongrus.
G regarder un reportage sur arte ou justement un architecte d'extérieur redonné à un paysage dénaturé par les plantations allogènes envahissantes pour lui substitué des plantations indigènes.
Ils n'y allait pas de mains mortes, les bougainvillées avaient pris la place de la flore habituelle et gagnés du terrain.
J'aime quand je voyage être ailleurs que dans mon jardin.Aller au bout du monde pour voir les mêmes végétaux .
Je partage ton point de vue sur la nécessité de préserver la nature des implantations de végétation venues d'autres contrées, qui dénaturent le paysage et déséquilibrent l'équilibre naturel de la flore. Je pourrai dire la même chose de l'architecture de nos villes et de nos banlieues.
Mais dans un jardin organisé qui devient une oeuvre en lui même, je peux apprécier la bauté de la composition végétale et florale. J'aime l'aspect sauvage des collines de la Drôme, mais j'apprécie aussi le jardin des plantes aromatiques très organisé dotn j'ai publié quelques photos. Les deux se cotoient d'ailleurs.
De la même façon pour le parc du château de Compiègne, montré dans mon blog Perspectives, où la transition entre le jardin floral aménagé et la forêt environnante est progressive et du coup imperceptible.
Mais je hurle lorsque je vois un rond-point au nord du 45ème parrallèle avec un olivier rachitique tronant en son centre, ou un autre rond-point au sud de la France avec un saule pleureur complètement hors contexte.
J'ai la conscience verte.Une faculté toute particulière qui m'est accordée par je ne sais quel pouvoir.Mon métier avec la nature?Ma prise de conscience qu'un végétal est un être vivant avec ses propres exigeances?Que la nature a une conscience?
Le tout en même temps.
Un olivier rachitique,un saule pleureur déplumé.Il ne faut jamais avoir vu ces même arbres dans leur "majesté" pour leurs imposer une telle souffrance.Sensiblerie penseront certains.
Une nouvelle vision de voir le "vivant" j'affirmerais.
Les beaux jardins organisés sont pour me plaire.Les topiaires de buis ou autre arbustes se prêtant à cet art m'éblouissent.Je reconnais la beauté du végétal et l'habilité du jardinier .Je ne suis pas pour la taille des végétaux de façon obligatoire et forcée.Voire ces trognons de platanes au bord des routes m'insupportent.Les faire rentrer dans un espace inadapté est un affront.Un manquement élémentaire de touts paysagistes sérieux aux exigeances d'une plante.
Par l'observation on sait que nous pouvons contraindre un végétal par la taille tout en lui gardant élégance et santé.J'ai été amené a planter 300 m de leylandis en pleine campagne avec des champs de blé à perte de vu,une perspective sublime.Mes conseils auraient été tout autre pour non seulement garder l'harmonie et permettre la pérénnité de la plantation.Mais bon certains humains non pas le même respect que moi de la nature.
On y vient.Les mauvaises habitudes perdurent tout de même.
Commentaires
Au fonds est la vérité
Quand le potager devient oeuvre d'art
Ces photos ont été prises lors de ma ballade dominicale à Gerberoy, l'un des plus beaux villages de France dans l'Oise. Le sentiment de bien être donné par ce type de lieu est extraordinaire.
Je vais
me résignier à apprécier tes photos.J'ai du mal avec des leylandis dans le maquis corse ou des platanes dans la garrigue des corbières.D'ou mon intervention sur un autre de tes blogs photos.La beauté de la nature je ne l'a conçoits que spontannée.Je peux être admiratif devant un jardin d'architecte d'extérieur que je suis.Je prends en compte l'environnement et même si certains végétaux sont adaptés sous nos latitudes je les trouvent toujours incongrus.
G regarder un reportage sur arte ou justement un architecte d'extérieur redonné à un paysage dénaturé par les plantations allogènes envahissantes pour lui substitué des plantations indigènes.
Ils n'y allait pas de mains mortes, les bougainvillées avaient pris la place de la flore habituelle et gagnés du terrain.
J'aime quand je voyage être ailleurs que dans mon jardin.Aller au bout du monde pour voir les mêmes végétaux .
Du spontané à l'organisé
Je partage ton point de vue sur la nécessité de préserver la nature des implantations de végétation venues d'autres contrées, qui dénaturent le paysage et déséquilibrent l'équilibre naturel de la flore. Je pourrai dire la même chose de l'architecture de nos villes et de nos banlieues.
Mais dans un jardin organisé qui devient une oeuvre en lui même, je peux apprécier la bauté de la composition végétale et florale. J'aime l'aspect sauvage des collines de la Drôme, mais j'apprécie aussi le jardin des plantes aromatiques très organisé dotn j'ai publié quelques photos. Les deux se cotoient d'ailleurs.
De la même façon pour le parc du château de Compiègne, montré dans mon blog Perspectives, où la transition entre le jardin floral aménagé et la forêt environnante est progressive et du coup imperceptible.
Mais je hurle lorsque je vois un rond-point au nord du 45ème parrallèle avec un olivier rachitique tronant en son centre, ou un autre rond-point au sud de la France avec un saule pleureur complètement hors contexte.
Le contexte, tout est là...
Nous sommes d'accord.
J'ai la conscience verte.Une faculté toute particulière qui m'est accordée par je ne sais quel pouvoir.Mon métier avec la nature?Ma prise de conscience qu'un végétal est un être vivant avec ses propres exigeances?Que la nature a une conscience?
Le tout en même temps.
Un olivier rachitique,un saule pleureur déplumé.Il ne faut jamais avoir vu ces même arbres dans leur "majesté" pour leurs imposer une telle souffrance.Sensiblerie penseront certains.
Une nouvelle vision de voir le "vivant" j'affirmerais.
Les beaux jardins organisés sont pour me plaire.Les topiaires de buis ou autre arbustes se prêtant à cet art m'éblouissent.Je reconnais la beauté du végétal et l'habilité du jardinier .Je ne suis pas pour la taille des végétaux de façon obligatoire et forcée.Voire ces trognons de platanes au bord des routes m'insupportent.Les faire rentrer dans un espace inadapté est un affront.Un manquement élémentaire de touts paysagistes sérieux aux exigeances d'une plante.
Par l'observation on sait que nous pouvons contraindre un végétal par la taille tout en lui gardant élégance et santé.J'ai été amené a planter 300 m de leylandis en pleine campagne avec des champs de blé à perte de vu,une perspective sublime.Mes conseils auraient été tout autre pour non seulement garder l'harmonie et permettre la pérénnité de la plantation.Mais bon certains humains non pas le même respect que moi de la nature.
On y vient.Les mauvaises habitudes perdurent tout de même.