Que l'on ne peut rester indifferent.
Je me suis arreté ce matin sur des simples banalités qui font les choses de la vie.
Le mistral souffle tres fort aujourd'hui.
Comme un chasseur d'ennuis il emporte sur lui les feuilles malgres lui.
Elles voltigent dans une danse qui me rapel comment je m'appelle.
Petit bruit qui vient a mes oreilles d'un autre temps ou j'etais conqui.
Les unes tombent a mes pieds comme un tapis de gala organisé.
D'autres s'envolent pour s'eloigner de ma vie.
Je decide d'en prendre une dans ma main et la caresser.
Elle craquelle sous mes petits doigts agités.
Sa couleur verte orangé decide de ma journée.
Je lui sourit bétement comme si elle etait une ame mon enfant.
J'ouvre ma main et la libére en lui disant.
Part sans bruit feuille d'étè vivre ta fin de vie.
A contre coeur je lui dresse une larme de bonheur.
Elle ne serra plus là, mais, quand elle fermera ses plis,je lui aurrai dit oui.
Bien d'autres viennent devant moi, mais, hélas je la pleure malgres moi.
Toutes aussi jolie les unes que les autres, elle c'etait une poésie.
Dans cette matinée de feuilles enjouées je reste gaie.
petit patock.
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