Presque avec retenu, les mains nu.
Le philosophe misanthrope voulait couper les coquelicots.
De ce jardin a ciel ouvert, mon espace sans regard, nul retenue, il
exerce, ca bienvenue.
Ouvrant des lumières jusque là, inconnu pour éblouir ma
frêle vertu dans un moment lui semblant beau et propice de ma
convenue.
Avec une sagesse non déguisé, il déposait a mes pieds, des
phrases bien tournés que, bien d'intolérants aurraient renié.
Sans prendre le dessus de ma petite tenue, il avance, tel une lumière
non dissimulé.
De sa verve qu'on lui connait, il ironise de fantaisie.
Cela peut parraître brutal, pour un enfant de bas étage.
De sa brillance naturel, sans imagination, il parle naturel.
Langage peu courant dans ces couleurs d'un autre temps.
Je ne peut et ne voudrais en un cours instant lui faucher cette culture
qui parfois me dépasse, me fait retomber dans une impasse.
Pourquoi, vouloir couper ces coquelicots dans mon espace perso.
N'ont-ils plus de place pour êtres assez beau dans ce décor imaginaire que
j'ai voulu harmonieux, rangé en rang pour tous les apercevoir, sans les discréditer.
Sans doute, lui-même, ne trouve t-il pas de place dans ce monde atomisé.
De toutes ces questions philosophiques, esthétique,éthique, logique,
métaphysique, morale, antologie, théologie, il restera des systèmes d'idées
a developper encore et encore pour l'éternitè.
Le misanthrope ce cache volontairement pour étudier l'espéce humaine.
Certain, vont le qualifier d'ours mal léché, solitaire tel un ver glissant
parmi la foule des gens courant dans tous les sens, sans pour autant avancer.
Moi, je le qualifierai d'observateur avisé.
Alors, me direz- vous, quel place je peu occuper dans son univer.
Je ne le sais certe pas, par contre, il a daigné jetter un regard sur ma
petite personne, ce qui m'étonne hier et, a ce jour.
De cette conversation remplie de richesse, je dois garder l'essentiel.
Des bases pour garder ma place et, regarder d'une autre face.
Une vue philosophique ne relève pas de l'utopie.
" Je me demande, a ce jour pourquoi vouloir couper ces coquelicots ".
Petit Patock.
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