De cette vie ou il ne se passe rien d'extraordinaire.
____________________________________________
Les jours courent dans les ruisseaux et, je reste tel un noyeau.
Abandonné, pâle et fatigué du manque de tendresse.
Pas un souffle sur l'ombre de ma peau.
Une griffure dans mon pauvre dos.
aucun geste pour réchauffer mon âme blessé.
Je verse inlassablement des larmes sur mon clavier.
En écoutant des chansons tristes, arretez-pitié.
petit patock.
- Blog de patock
- Connectez-vous ou Inscrivez-vous pour publier un commentaire
- 203 lectures
- Envoyer par mail