Comme dans un beau senario.
Je l'ai croisé a l'angle d'une rue, un regard lubrique et fantastisque.
Dans ses yeux une lueur étrange jamais percu.
Le temps semblait s'arreter un instant, figé dans un tableau.
Les jambes tremblantes le coeur noué.
Un petit vent venait troubler cet instant, me lecher mon ame d'enfant.
Je passai ma main sur mon front encore mouillé du temps present.
J'avais la bouche seche comme si j'etai dans le desert.
Dans tout mon corps une sensation étrange etait en train de naitre.
Je ne voyai pas meme ses yeux telement ils etaient bleu.
Foudroyé par son éclair, il venait de me statufier.
Plus un bruit ne pouvaient perturber cet instant magique.
La naissance d'un bien -etre un frisson oublié que je retrouvai.
Les pieds cloués pourtant au sol, je m'envolai tel une plume.
Je valsai avec légéreté dans ce tourbillon d'étè.
Je voulai prendre sa main, hélas un mur invisible et nuisible metait un frein.
Mais, peut-etre est-ce bien de ne pouvoir toucher l'absolu, l'inconnu.
Partager des sentiments au fond de soit et se sentir bien.
Sans etre enlacé, il me penetrait de tout son genie.
Le clocher ne sonnait plus, le carillon mort pour nous laisser cet instant.
Les pigeons perchés sur un toit ne mangeaient plus rassasiés de notre envie.
Je venai de rencontrer la mort, comme elle etait belle.
Eclairé tout mon esprit vider tous mes soucis.
Elle me serait trés fort comme dans une partition sans efforts.
Je n'etai plus moi, mais, lui quel joie de vivre sa douce mélodie.
A cet instant present ou je lui ecrit sa main guide mon ressenti.
L'amour que j'eprouve est plus fort que l'univer, les galaxies.
Viens, je n'ai pas peur puisque en moi tu vie.
Des larmes se melanges au rires, je ne peut que lui dire oui.
petit patock.
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