"Quand je revois Arthur, ce soir, je vois bien qu'il a pleuré. Je vois les yeux rougis, le visage creusé par les larmes, une tristesse épouvantable. Je ne dis rien. J'attends qu'il parle. je veux que cela vienne de lui. Il demeure longtemps dans le silence. Il y a ça, un silence interminable, immobile . Alors, je prends sa main dans ma main . Il y a le toucher de nos paumes, une pression légère...