d’infection par le VIH augmente avec la surface du prépuce
Confirmation, par le contraire, que la circoncision prévient de la contamination par le VIH. L’équipe de Godfrey Kigozi vient de constater que plus la surface du prépuce est étendue et plus le risque d’infection est majoré. Le constat a été fait auprès de la population de la communauté Rakai (Ouganda) qui participait à une étude sur la circoncision. Tous les participants étaient séronégatifs à l’enrôlement. Puis la surface des pièces opératoires a été mesurée après l’intervention. Le plus fort taux de séroconversion, préopératoire, a été relevé chez ceux au plus grand prépuce. Des données à confirmer, mais qui vont dans le sens de la vulnérabilité de ce tissu face au VIH.
AIDS, 22 octobre 2009.
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Commentaires
pour les actifs seulement
il
il faudrait
émasculer les nourrissons, c'est ma proposition, peu fiable certes mais ô combien prometteuse, plus de bite, plus de prépuce rien que des castras qui chanteraient dans des cathédrales vides, désaffectées, louanges au seigneur qui ne s'était pas préoccupé de l'utilisation de la bite avant le mariage, et hop, adieu bléno, condilomes, syphillis, rien que des enfants de choeur en pleine forme, sportifs, chanteurs, avec une voix si particulière que les papes s'en réjouiront pour les siècles des siècles, ad hominem.
tu
ah que non
Nostalgia
en fait, je suis quelqu'un qui doute de tout ; l'étude, à titre amateur, de l'histoire apporte parfois des certitudes, dans le déroulement des choses, a posteriori on croit voir une logique dans le magma du temps ; j'apprécie le XVIIIème siècle français, qui a vu tant de mouvements insolites, jusqu'à la révolution qui conduit pourtant à la Terreur ; mais quel laboratoire fabuleux pour nos sociétés qui ne croient plus guère en l'utopie, c'est un euphémisme ; Marx et Freud ont modifié nos perceptions, mais je ne vois rien dans notre XXIème qui participe de ce rêve ; l'économie, la finance ont vidé l'humanité de ce qui faisait son charme : l'arrogance d'exister, et non pas ce désir de conquête qui réduit le rêve à sa portion congrue.
Ce matin, est-ce le changement d'heure, je ne perçois que la gravité et l'échec du monde contemporain empêtré dans des considérations bêtement spéculatives ; quand plus d'un milliard de personnes souffrent de la famine, orchestrée par les grandes puissances économiques auxquelles j'ai le triste privilège d'appartenir, je crains que le pire reste à venir, dans une indifférence mondialisée comme le reste.