L'hiver frappe à ma porte comme un mendiant.
Maigre est ce visage.
Des traits rudes, arpentent ça et là sur mon front.
Un peu de neige couvre mes cheveux poivre et sel.
D'un yeux un peu moins brillant, que les bougies d'antan de noël, je
devine en moi une inquiétude de cette image gravée dans ce cœur esseulé.
D'une main un peu fragile qui se tend vers vous, avec incertitude, j'appelle
à l'aide de mes blessures.
Mais, hélas, le monde n'a d'yeux que pour une certaine noblesse du carrefour.
Sans charme, comment attraper l'irréel.
Mes vêtements, un peu souillés par la poussière d'un vent glacial, laisse
paraître, une marche interminable rempli de certains regrets.
Je n'ai pas de nom, je m'en moque, seule ma présence, me suffit, j'ai même
parfois honte de ce manque de beautés, il me rappelle, que le temps est un traître
de cape et d'épées, mon corps ce saigne pour de vrai.
Je plonge et, ne peut plus remonter, comme ce vieux clocher, qui tue le temps
sans la moindre apparence.
A force de l'attendre, je ne sais plus où je vais et, qui je suis.
Comment voulez-vous, qu'on me reconnaisse, je flotte dans l'espace, pour
oublier de glisser dans ce soleil.
Seul, le rêve et mon sommeil, d'une forme de réalité.
Je veux rester cet inconnu barricadé pour personne.
Je ne pleur plus, l'eau me fait peur, noyé, je le suis déjà, par la trahison d'un passé.
Vous, qui me voyez, aidez-moi, à vous plaindre de l'injustice, qu'il vous est arrivé.
Si je vous dis, que je désir partir, chassez-moi, comme tous vos projets
que vous avez par défaut un peu ratés.
" L'hiver pointe le bout de son nez, sans effets ".
Petit Patock.
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Commentaires
Madame, Monsieur,
Sur la route de mon infortune, j'apprendrais la vie de tant de cœurs blessés.
Je comprendrais, qu'une hirondelle, ne vit quand été.
Je ne peut reculer, car tout ce bouscule dans ma tête, même, si je veux
rester fidèle, l'angoisse prend le dessus.
Je suis un voyageur victime de manque d'espoirs, menacé, des images
volontairement, glacés.
Mon face à face, ne suffit plus pour reprendre cette vision céleste.
C'est, pourquoi, j'implore dame blanche, sans trop y croire de me redonner
une chance et, peut-être, qu'un matin clair, je chanterais des jours divins.
Je vous confit, dans vos mains, mon destin et, vous ferez pour demain
mon envie de faim.
Petit Patock.
J'aime ta dernière phrase La Fin...La
J'aime ta dernière phrase
La Fin...La Faim
Oui l'Amour est une nourriture necessaire
Je me bats depuis plusieurs semaines
Pour me convaincre qu'elle n'est pas indispensable
J'ai du mal à être convaincue je te l'avoue
Mais je llutte
La vie est un combat Patock
Et je sens que tu es un vrai guerrier
Bats toi, Tu n'es pas seul.
Little !!
Le guerrier est en manque d'arguments a défaut d'avoir l'arme secrète
pour atteindre le cœur d'une âme bien réel.
L'amour, c'est un peu comme un vent, qu'on sent sur la peau mais, qu'on
ne peut saisir pour remplir sa chair d'un bien-être, pourtant désiré.
Se battre, contre le vent, lutter contre le froid, se rafraîchir contre la chaleur.
Ma nourriture pour demain, c'est l'espoir, que je glisse dans vos mains.
" Ne baisse pas ton ardeur, à moins que celui-ci, se révèle rêveur "
Reçois de la brise légère ma meilleur pensée
Petit Patock.
Mon ardeur n'était pas "que" rêveur Mais
Mon ardeur n'était pas "que" rêveur
Mais j'abandonne pourtant
Quand L'amour se transforme en haine
the end
adieu Patock
Little !!
Tu as du mal interpréter mon propos, c'était en terme général que je parlai.
Je ne me permettrais pas de te donner des leçons.
Si comme tu dis ( l'amour se transforme en haine ) .
Déjà, je te connais pas, comment parler d'une histoire ??
Petit Patock.![Innocent Innocent](https://seronet.info/sites/all/libraries/tinymce/jscripts/tiny_mce/plugins/emotions/img/smiley-innocent.gif)
Je sais bien que c'était en terme
Je sais bien que c'était en terme général
Je faisais comme ci...
On s'est croisé un jour, mais peu importe,
Toute mon amitie