Les archives communautaires

Bonjour à tous,

 

dans les discussions, il y a souvent des désaccords assez profonds sur certains sujets - des engueulades mêmes - parfois pas toujours respectueuses des uns et des autres...  

 

Cela vous gêne-t-il ? Y-a-t-il pour vous suffisamment d'entraide et de solidarité entre les membres ou non ? Attendez-vous la même chose des discussions sur le blog et le forum en terme d'ambiance ?

 

Cela vous arrive-t-il souvent de penser : "vu le fil en ce moment, l'ambiance n'est pas top, je ne poste pas aujourd'hui"...?

 

Enfin, grande question : comment aller vers plus d'entraide ? 

 

 Pour cela, attendez-vous de notre part plus d'intervention dans les fils ou non ?  

 

Evitons de revenir sur des vieilles choses passées, parlons plutôt du "général" et de la manière d'améliorer la vie sur Seronet.   

Commentaires

Portrait de moajdi

 L'ambiance sur certains sujets est clairement la cause de mon silence... à quoi bon construire une réponse lorsque l'on sait que la réponse, vindicative, va apparaitre dans les 5 minutes qui suivent, sera de type "réaction spontanée à un vocable" et que l'on s'adresse non plus à des êtres pensants mais à des polémistes en état de crise...

Je suis bien en peine de vous proposer des voies de réflexions pour un site "plus mieux", j'y réfléchis assez fréquement pourtant...  

Pour finalement me taire.

Droit de réponse, devoir de réserve.

Portrait de Traitdunion

comme Moajdi je me questionnes finalement à quoi sers pour moi d'être parmis vous , vus ma perte de temps sur internet qui me frustre à mes fins de journée , soirée , insomnies , non j'exagères , heuresement plus ça , mais , à quoi ça sers Seronet ?
Portrait de lea-mûre-trans-seroplus

Je pense qu'il serait déjà bon que l'équipe fasse le tri entre les messages généraux et personnels. Du débat d'idée "je pense qu'avec une charge virale indétectable je peux baiser sans capotes" ou "je pense qu'il y a encore des risques" aux insultes personnelles nominatives, ou concernant tel ou tel groupe. J'aimerai aussi qu'elle se manifeste quand une chose totalement invérifiée se manifeste, par exemple quand quelqu'un explique qu'aprés un rapport sexuel il pisse, ou niant que la partie sous le gland d'un individu est particulièrement contaminante car là c'est pousser les gens à faire des bêtises. Espace seronet se propose comme un lien solidaire entre séropo.Moi j'ai l'impression qu'il sert surtout à répandre la propagande d'un groupe précis.
Portrait de sonia

nommer sans nommer, dire sans médire, la protectin des données..peut on empêcher le vent de soufler là haut dans la montagne?... oh mon russe oh mon vice hélas je te pleure mon virus, triste nouvelle, mes frères mes soeurs il s'en est allé comme il est venu, indétectable ruse...car je suis en privé et m'a contacté sur ma bal en mp et les choses deviennent simples et invisibles...mais tellement compréhensibles loin des insécurités toujours dans le doute en mouvement l'esprit heureusement réchappe à l'appel, tendre torpeur, stupide vanité...Fierté Rebelle !

Portrait de moajdi

 au compte des "je"

léa : 6

sonia : 1

Droit de réponse, devoir de réserve.

Portrait de Trudy Q

QUOI?
Portrait de frabro

Puisque SERONET demande notre avis, je vais esayer de donner le mien, et désolé pour l'usage du JE s'il est trop intensif.

SERONET est le reflet de l'épidémie. S'y retrouvent des personnes qui n'ont peut être en commun que la séropositivité. Celà ne suffit pas à former une communauté d'entr'aide.

Les désaccords, même profonds ne me gènent pas. Ils alimentent le débat général et ma propre réflexion, me font évoluer sur ce que je ne connait pas assez, me montrent d'autres réalités que la mienne.

Il n'empêche que MA réalité est respectable et que je dois pourvoir l'exprimer ici sans me retrouver au banc des accusés. Le respect de l'autre est essentiel, mais je peux parfois comme chacun d'entre nous être excessif dans mes écrits, parce que certains propos me heurtent profondément et que je réagis dans l'instant et sans le recul nécessaire pour rester modéré.

Il m'arrive aussi d'être volontairement abrupt, pour provoquer le débat, et susciter la réaction des séronautes. Tant pis si celà déplait, nous ne sommes pas dans un monde lisse ou tout le monde s'aime et est sur le même chemin de vie. 

Il m'arrive aussi de pratiquer un humour caustique  voire acide, qui est inaccessible parfois..Dois-je pour autant me limiter au premier degré, moi qui explore plus souvent les degrés suivants (2ème, 3ème etc...)

Celà dit c'est vrai qu'il m'arrive de renoncer à certains fils de discussion parce que je m'y sens agressé et pour ne pas alimenter des polémiques que je crois stériles. Dommage, peut être, car celà coupe aussi le débat de fond.

Il y a une différence essentielle à mes yeux entre les forums, lieux de libre expression, de partage et d'échange, et les blogs. Mon blog m'appartient, c'est mon espace personnel, une extension de mon lieu de vie, une fenêtre sur mon vécu et mes sentiments. Je dois pourvoir y dire ce que je veux en sécurité. Peut-être faudrait-il supprimer les commentaires sur les blogs, le message privé et non publié permettant aux uns et autres de m'xprimer leur ressenti s'ils le souhaitent.

Modérateurs ou animateurs ? Je ne sais pas si vous devez intervenir plus ou moins, mais votre tâche n'est pas facile. Courage !

A suivre... 

 

Portrait de fabinette

perso je penses que tes commentaires manques, tes rebondissement étaient imprevisible, tu veux un service secours pour te sortir de ton apnée?

retrouve ton 'tit nez surprenant, plein de mystères.

RO BISOUS

FABINETTE

Portrait de jean-rene

C'est drôle, mais je me retrouve beaucoup dans ce que tu dis de toi, Frabro.

J'ai, d'abord, un besoin de fraternité (qui se retrouve dans mon homosexualité) qui s'exprime par des appels. Quand ils sont sans réponse dans la vie courante, je m'écrase. Mais, sur le net, je n'ai pas honte de crier ma douleur. C'est vrai que le net autorise à une certaine impudeur qu'on s'interdit habituellement.

Ensuite, j'ai un manque profond de virilité : je ne sais pas attaquer pour le plaisir de la bagarre. Mais, si je suis agressé, alors là je m'autorise à répondre, et encore plus fort sur le net; je crois que c'est toute cette virilité inexprimée qui se décharge alors avec une violence extrème.Je suis alors sidéré de ce qui a pu sortir de moi, moi qui suis naturellement doux.

Et puis, c'est vrai, j'aime bien le débat intellectuel. Comme toi, je pense qu'il fait avancer et je pense que, de la contradiction sort la vérité. Mais évidemment, quand, par hasard,  je contredis un écorché vif qui me ressemble, je risque de recevoir une agression à laquelle je réponds encore plus fort, etc...

Ainsi, je suis un doux trop lâche pour attaquer  mais qui attend d'être agressé pour mordre.

Portrait de saraconor

Malgré les ego, les frustrations, les différences sociales et intellectuelles,

Seronet est un excellent site et vous gérez relativement bien tous les débordements.

C'est vrai que parfois en poussant la porte, l'ambiance peut paraître un peu tendue et intimidante, mais l'expression c'est la vie.

Comment quantifier l'entre-aide, là je sèche.

Portrait de maya

je partage l'avis de la plupart, certaines chauffes sur des sujets à "opinion' et sur des comportements qui touchant à des choses fortes de nos existences sont  plus ou moins inévitablesl : rassurez vous sur tous les sites seropos : ca existe toujours pour ce que j'ai pu en voir (et participer moi même depuis une dizaine d'années.

le pb c'est quand il n'est pas possible aux gens de parler. 

quels sont les sujets de rixes permaanentes serait interessant à observer . le classique parcours de celui qui fait partie d'une minorité est au fil du temps  (pas pour tous la encore ) mais de rendre l'agressivité qu'il a reçu bien svt.ce ne sont pas des sujets sur lesquels on a du recul on est en pleine actu si je puis dire, allez jeter un oeil sur les sites/forums de certains journaux c'est rarement franchement amical.

ya la barrière inévitable du net , ceux qui se sont deja vu ne se voient apres plus pareil, les failles, on les voit et ca rend les gens humains, parfois touchants, après on ne les lit plus pareil. enfin c mon sentiment.

ya des gens avec qui tu sens du potentiel de capacités à débattre sans etre jugé, mais je dirais oui que la férocité ressentie est sans aucun doute génératrice de ne pas se parler du fonds de nous de ce qui fait mal auss, on va débattre d'idée, de techniques, de principes mais pas se mettre sur le tapis avec notre propre experience et nos propres doutes. Et des doutes, on en est pein, même ceux qui jouent la froideur affichée, le ton professoral ou encore l'ironie.  

"ma défense c'est l'attaque' disait qqun. vivre avec différentes marginalités successives à titre perso j'en ai les traces, aussi dans ma forme de contact. souvent je regrette de m'emporter saleté de nature, cette impulsivité pour laquelle j'ai deja lu 50 manuels de vivre avec s'en débarrasser en vain !!!!!!!!!!:-(

ya des sujets ou ca fuse quitte à regretter la forme (rarement le fonds) de mon message oui ça : aucun doute. 

pour ce qui est de l'entraide, on aide qqun qui dénonce son manque . venant de quartiers sans tune j'ai toujours été sensibilisé à ça, je ne crois pas que tous les seropos soient sur le net, il y a tous ceux qui n'ont pas les moyens d'avoir un pc. 

et vous equipe seronet si vous donniez  votre opinion?  

 

 

Portrait de jean-rene

Maya, tu parles de "vivre avec différentes marginalités successives".

Ca, je connais: fils unique, je suis sans fratrie; intellectuel, je suis marginal dans mon milieu modeste d'origine; subversif, je suis marginal dans mon milieu social final; homosexuel, je suis marginal pour les hétéros; bisexuel, je suis marginal pour les homos.

Alors, le VIH m'a introduit, sinon dans une fratrie, au moins dans une cousinade où tous et toutes, modestes, aisés, manuels, intellectuels, hétéros, homos ou bis, avions, dans les années 90, quelques préoccupations en commun : les tatonnements thérapeutiques, les effets secondaires, les maladies opportunistes. Ca a été finalement ma première vraie famille.

C'est peut-être moins vrai actuellement pour les nouveaux séropos dans la mesure où il y a, à présent, moins de tatonnements thérapeutiques, d'effets secondaires et de maladies opportunistes. L'effet "famille" s'est peut-être distendu.

Portrait de Luca

Le principe même de la discussion virtuelle est cause de malentendus, des individus se parlent sans se connaitre physiquement, dans l'anonymat, en différé et sans spontaneïté. Aucun ressenti conscient ou inconscient que l'on ressent quand on est face à son interlocuteur. Il y a que les mots froidement sur l'écran, les erreurs dans l'expression et la compréhension sont vite faites, en effet. Donc rien de très bon pour des échanges serein.

C'est vrai que je poste pas à cause de l'ambiance parfois, mais j'aime bien lire, même si je suis d'avance découragé par des posts trop long ou des fils à rallonge (trop flemmard ) et puis y'a des sujets qui m'intéressent pas. On est submergé d'infos, d'idées ect...on est vite saturés, sous pression...

Bon voilà, c'est un mode d'expression qui demande un peu de discipline.

Portrait de lea-mûre-trans-seroplus

Si j'aime la parole associative j'aime aussi la parole individuelle. Ici je suis une. Foucault appellait ça "parler à la première personne". Tu m'oppose à Sonia que je respecte sans la connaitre autrement qu'ici. Je dis "je" car le sida "je" l'ai. Je dis "je" c'est haissable -le moi est haissable- mais je préfére le "je" au "on", au "il est est prouvé que.
Portrait de sentierquibifurque

Bonjour Frabro, homme sage.

Je partage totalement ton point de vue. Et oui, cela aussi je dois pouvoir le dire. En effet, comme tu le suggères, je pense aussi que la séropositivité "ne suffit pas à former une communauté". Le contraire est une belle utopie, mais une utopie quand même. Le dernier rapport Yéni le dit aussi. Il y a d'abord une diversité socio économique. Si "la pathologie VIH/SIDA concerne globalement des populations socialement plus défavorisées qu'au début de l'épidémie ou entraîne une détérioration de leur situation sociale", plus d'une sur deux travaille. Et "chez les personnes diagnostiquées depuis 1994 ayant un niveau d'études universitaires, il n'existait pas de différence de taux d'emploi en comparaison à la population générale". Une autre statistique indique également que s'il y a plus de personnes pauvres ches les pvvih, il y a par ailleurs autant de personnes aisées (10 % des personnes disposant de revenus d'au moins 33 190 euros annuels) que dans la population générale. Un dernier forum à propos d'une rencontre organisée a révélé aussi cette diversité de revenus. En tant que pvvih aisée, je dois aussi pouvoir m'exprimer et exprimer mes préoccupations même si cela peut choquer et constituer pour certains une forme de violence symbolique. Et évidemment, mes préoccupations ne sont pas forcément celles des personnes ne vivant qu'avec l'AAH.

Cette position sociale a dû et doit influencer de façon durable ma manière de penser, de sentir et d'agir et de répondre, avec un sens pratique particulier. Immédiatement et sans même y réfléchir aux événements auxquels je fais face et selon des stratégies inconscientes comme le joueur de tennis renvoie la balle à son adversaire sans même y penser. Et à cela, désolé, je ne peux pas échapper. C'est un habitus comme dirait Bourdieu, c'est-à-dire ce qui est "au principe de ces enchaînements de coups qui sont objectivement organisés comme des stratégies sans être le produit d'une véritable intention stratégique" (Pierre Bourdieu, Le sens pratique, Editions de Minuit). Et le vih ne me semble jouer que peu de rôle ici. Et évidemment tout cela se sent quand je m'exprime sur les forums et peut constituer pour certains une autre violence symbolique. Mais n'en est-il pas aussi ainsi des autres Séronautes ?

Il y a aussi une diversité qui résulte de la biographie des pvvih. Jeunes, plus âgés, contaminés récemment, contaminés depuis longtemps, homos, femmes, usagers de drogues, selon le mode de transmission... (liste non exhaustive bien sûr). En tant que gay, je vois un lien évidemment entre ma contamination et mon orientation sexuelle. Et cette orientation sexuelle influence aussi ma manière d'agir, de sentir, de penser, outre ma manière d'aimer. Toute cela je dois aussi pouvoir l'exprimer ici. Et les autres aussi.

Comme toi, je pense que "mon blog m'appartient, c'est mon espace personnel, une extension de mon lieu de vie, une fenêtre sur mon vécu et mes sentiments". Je l'ai d'ailleurs dit... sur mon premier billet de blog, dans un commentaire. Et cette position m'a été confirmée sur ce même billet par Seronet. Comme tu le demandes, d'une certaine manière, et pour aller plus loin, je dirai qu'on devrait pouvoir modérer soi-même son blog, en supprimant soi-même notamment des commentaires qui viennent "troller" parfois celui-ci.

Et l'entraide dans tout cela ? Et bien elle existe. En fonction d'affinités, de proximité, d'intérêts communs... Elle s'exprime dans des petits groupes informels qui se constituent. Ce n'est pas parce que les forums respirent parfois une certaine violence que ne s'y exprime pas cette solidarité. Elle s'exprime aussi sur le chat au détour d'une conversation légère, quand soudain et souvent une question de fond est abordée.

Faut-il plus d'interventions de Seronet ? Oui, déjà que Seronet réponde "cordialement" à tous les messages qu'on peut adresser à l'équipe. Comment exiger de la civilité dans nos échanges si la structure elle-même n'en fait pas toujours preuve ? Et je n'ai vraiment pas apprécié cette semaine la manière et surtout le ton avec lequel un modérateur sur un chat à thème s'est comporté à l'égard d'une séronaute juste un peu impertinente en la menaçant de la "kicker" si elle ne se taisait pas. En tant que professeur, j'appelle cela de autoritarisme et non autorité qui reposerait sur l'écoute et l'aptitude à convaincre.

Faut-il que Seronet intervienne plus dans les fils ? Je ne crois pas. C'est mettre un frein à la liberté d'expression trop malmenée dans notre société. Que Seronet intervienne certes quand des propos ad hominem sont tenus en n'oubliant toutefois pas que ce sont des personnes anonymes qui s'expriment, des pseudos ! Et que Seronet intervienne avec moins d'arbitraire. Je suis en effet assez surpris de constater que dans des fils anciens des propos vraiment troublants aient pu être maintenus alors que d'autres ont été supprimés. Il faut repenser la modération, la rendre peut-être plus collective alors que j'ai parfois le sentiment qu'elle s'exerce selon le "roulement" des modérateurs...

De toute façon, la loi du temps étant ce qu'elle est, de nombreux sujets qui ont donné lieu à des polémiques violentes tombent rapidement dans les oubliettes symboliques de Seronet.

Cependant, dans un commentaire, je lisais récemment une remarque pertinente d'un Séronaute (qu'il accepte mes excuses si je ne le cite que des mémoire). En effet, celui-ci faisait remarquer que les forums étaient accessibles à tous, même lorsqu'on n'était pas inscrit sur le site et que certains propos pourraient fausser le jugement de personnes non averties. Faut-il interdire l'accès de certains forums aux membres non inscrits (qui peuvent être aussi des mineurs) ?

Cordialement

Portrait de sonia

une utilisation intempestive d'internet nuit gravement à la santé ;-)

Portrait de Trudy Q

et Bravo ! quel réponse profonde ! et ça me fait reflechir pourquoi j ai choisit ce pseudo :o)
Portrait de frabro

abusive d'internet nuit gravement à la solitude...
Portrait de Merlin

je pensai trouvez une autre anbiamce  ici mai ca vas venir don je lis  et relis

vos meesges et bot que de temps perdu  bonne journée

coucou Fabinette  et la blonde mogaji et les autres 

a +

Portrait de melanissa

comment la définis tu ?en suède un père qui prend  2 ou 3 ans pour s'occuper de l'enfant,pendant que maman va travailler,ne se sent pas atteint ds sa virilité.A l'école une fille qui apprend la maçonnerie ne perd pas sa féminité.Nous avons tous une part de féminité et masculinité,et çà peut s'armoniser.IL n'est pas necessaire d'etre costaut,ni faire de la boxe  pour etre virile c pas un critère absolu;je connais quelqu'un qui fait du foot et qui a une belle part de féminité ds l'intimité et il n'en est pas moins virile à d'autres moments.

Je m'affirme quand je le juge utile,c'est tout.

Reflexion du matin;je vous dis Bonne journée.

Portrait de micheltlse

utilisation addictive d'Internet (en général) "peut" nuire à la santé et à la socialisation.

est-ce "mieux" formulé ?

Biz à tout le monde !

Portrait de Trudy Q

addiction intempestive de branlettes sur internet fait tordre la socialisation  
Portrait de sonia

Ya pas de vidéo tchat encore, faudra patienter avant de jouer à qui aura la plus grosse branlette, pour l'instant, c'est plutôt à qui aura la plus grande gueule! 

Portrait de Kaaphar

... peut tacher l'écran et endomager durablement le clavier
Portrait de Kaaphar

... Sonia, on connaît des salons spécailisés sur le net pour ce genre de comparatifs...

tu veux un lien ?

Portrait de sonia

C'est pour un sondage ou pour un bondage kaaphar? Plus sérieusement pour revenir à ton commentaire concernant  la surveillance du vih des pays "riches" face aux pays "pauvres", l'article auquel tu faisais référence précise bien  des résultats à confirmer, qui plus est n'est qu'une projection mathématique sur 10, 20 ans....d'ici là on devrait trouver un vaccin dans les 3 à 5 ans!(dixit Professeur Chermann et Montagnier) c'est là que doit se situer le véritable engagement des seropositifs à faire pression sur les labos pour délivrer le vaccin !!! il est inadmissible de lire ça et là le sida des riches et le sida des pauvres, n'entretenez pas cette fausse opinion, elle contribue à elle seule à fabriquer des parias de la société, peut on humainement imaginer faire du gavage médicamenteux au nom d'une idéologie "hygièniste", c'est à dire traiter tôt pour endiguer la pandémie (cf hirschel , rapport yéni 2008,) tester les molécules pour une soi disant moindre toxicité sur des êtres humains qui sont déjà dessocialisés ou assimilés dans des programmes de peur et de rdr où comme lu dans un commentaire, les seros participent à leur propre exclusion  (j'imagine du système?) du fait de leur mutisme !!!!

Des résultats à confirmer
L’observation clinique permet-elle à elle seule de déterminer quand passer d'un traitement donné à une personne nouvellement diagnostiquée (dit de « première intention ») à des médicaments plus coûteux lorsque apparaissent des résistances ? Là encore, l'évaluation des symptômes cliniques se révèle, selon cette étude, presque aussi efficace que les tests de laboratoire. Pour les auteurs, l'avantage lié à la numération des CD4 ou à la surveillance de la charge virale reste donc limité pour les patients suivant le traitement de première intention préconisé par l'OMS (stavudine, lamivudine et névirapine).
Fondés sur des projections mathématiques et non sur de véritables patients, ces résultats nécessitent cependant d’être confirmés par des travaux supplémentaires. Les antirétroviraux n’étant utilisés que depuis peu dans les pays en développement, rares sont, en effet, les données réelles actuellement disponibles.

Costa
(source www.who.int)